En l’espèce, une salariée invoquait des agissements fautifs et répétés de sa supérieure hiérarchique consistant dans un comportement méprisant et des propos dégradants. Il était établi par plusieurs attestations que ladite supérieure hiérarchique manifestait à l’égard de ses subordonnées une agressivité verbale, des brimades, humiliations et reproches incessants. La salariée avait été victime de plusieurs malaises sur son lieu de travail au motif médical d’un « état anxio-dysthimique gravissime » en relation étroite avec un vécu de harcèlement moral.
Source (Éric ROCHEBLAVE, juritravail.com)
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