"Le juge dit que les pièces que nous réclamons, nous les avons réclamées à une date qui était tellement proche de l'audience, qu'il ne pouvait pas considérer que Goodyear n'avait pas communiqué ces pièces", a expliqué à l'AFP l'avocat du CHSCT, Me Fiodor Rilov.
Le CHSCT réclame notamment une liste des salariés qui ne travaillent plus ou presque plus, selon Me Rilov, afin de pouvoir "évaluer les risques psychosociaux d'atteinte à la sécurité au travail et d'identifier les dégradations qui se sont déjà produites". La quasi-totalité des salariés est "sans occupation", a réaffirmé à l'AFP vendredi Me Rilov.
Une procédure similaire a été engagée sur le fond pour demander la suspension de la restructuration de l'usine d'Amiens-Nord (1.173 salariés), vouée à la fermeture.
Source (lefigaro.fr)
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