Malgré un avertissement par courriel, le salarié a persisté dans cette attitude en envoyant un message électronique à son supérieur hiérarchique, avec copie aux treize autres membres de l’équipe, « qui enjoignait sans ambages et publiquement d’être précis et réaliste et de prendre en compte un certain nombre de points afin de comprendre la situation ». Si la cour d’appel a bien considéré qu’il s’agissait d’un abus de sa liberté d’expression et de son droit de critique, elle n’en a pas tiré les conséquences légales, a estimé la Cour de cassation.
Source (Legalis)
Espace CHSCT, plateforme N°1 d'information CHSCT, édité par son partenaire Travail & Facteur Humain, cabinet spécialisé en expertise CHSCT et formation CHSCT